Michaël Jones

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En 1971 Jones traverse la mer. Pas loin. S’arrête à Caen, au cas ou il faudrait retourner en urgence. Avec la France, le jeune Gallois découvre les Français. Et la musique qui va avec.

Bals, galas, cabarets, concerts, cours de guitare. De 1976 à 1979, il croise la route d’un groupe au nom de vent. « Taï Phong » commence à marcher, il y a un drôle de type. Fils d’un juif polonais et d’une juive allemande, compositeur, chanteur et musicien.

Notes à notes, les guitares de Michael et de Jean-Jacques Goldman apprennent à s’apprendre. Blues, amitié, quand le groupe disparaît, ils jurent de se retrouver « quand on sera célèbres ».De 1979 à 1983, Jones fait de la scène, du studio, se fond dans « Week-end Millionnaire », groupe toulousain, puis « Gulf Stream », autre formation, avant de rentrer à Caen.

C’est là que Goldman rappelle. Un album, deux albums, l’ancien de « Taï » a connu le succès avant la scène. Et pour la scène, justement, il a besoin des notes galloises. Alors c’est d’accord. Cinq mois de tournées, cent concerts de retrouvailles.